Guilhem FERRAND

Mes travaux portent sur la manière dont les difficultés de la fin du Moyen Âge ont été vécues. Après une thèse consacrée à la gestion de l'insécurité générée par la guerre de Cent ans par les communautés du Rouergue, je m'intéresse aujourd'hui à la vie concrète des individus, entendue à la fois comme réalité matérielle et idéelle. Les terrains sont multiples: celui de la principauté d'Armagnac, du Rouergue et de la ville de Dijon. L'ensemble relève d'une anthropologie historique comparée et prend appui pour l'essentiel sur le dépouillement et l'édition des diverses comptabilités conservées pour le Rouergue bas médiéval ainsi que des inventaires après décès du Rouergue et de Dijon.